Comme pour un site classique, le référencement doit être très étudié. Et d'abord, il faut se pencher sur le choix d'un nom de domaine. Prenons un exemple : la société « Très Chic » est spécialisée dans la vente en ligne de produits de luxe. Dans deux mois, elle participe à un salon commercial.
Pour l'événement, elle décide de développer un mini-site où elle donnera l'actualité du salon, son rôle sur le salon avec pourquoi pas une webcam depuis son stand, les dates des conférences qu'elle tient et les promotions sur des produits spécifiques.
Le double objectif du nom de domaine Son nom de domaine habituel : « treschic.com ». Pour son mini-site, elle choisit judicieusement « nomdusalon-treschic.com ». Elle apparaîtra donc si l'internaute cherche des informations sur ce salon. Le mini-site se retrouvera sans doute dans une nouvelle rubrique des annuaires, où le site principal n'était pas encore référencé. Comme c'est un site nouveau, les surfeurs vont lui faire une place de choix. Et le tour sera joué.
Le nom de domaine doit avoir deux objectifs : montrer l'appartenance du mini-site à une marque ou un site déjà existant et s'en détacher en faisant jouer la nouveauté. C'est là toute la difficulté. Sinon, n'oubliez pas non plus de soigner mots-clés et META. Il vous faut enfin un code irréprochable. En effet, pour un site « temporaire », on n'a pas de deuxième chance… le référencement doit être efficace, immédiatement.
Une autre solution Vous pouvez aussi choisir la solution du sous-domaine, comme la Sofres qui a choisi 2002.sofres.com à l'occasion des élections. Vous créez un répertoire spécifique pour votre mini-site, qui porte le nom de votre événement (par exemple 2002) et votre hébergeur redirige cette adresse vers le répertoire en question. Il s'agit d'un hébergement dans l'hébergement qui donne droit notamment à des e-mails spécifiques. Attention, ce n'est pas forcément la solution la moins chère.
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