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2002 : la maturitéLa publicité en ligne : si c'était un vin, on parlerait de grand cru. Encore jeune bien sûr mais très prometteuse, elle a gagné sa place dans les médiaplanning et c'est tant mieux. | |
L'epublicité, et plus largement l'emarketing, ont presque eu raison de la morosité. Les grands annonceurs ne la considèrent plus avec dédain, bien au contraire. Il faut dire que cette année, elle a beaucoup évolué.
D'abord, elle a gagné en diversité : l'arrivée des liens promotionnels et du positionnement payant, les nouveaux formats de bandeaux publicitaires, la richesse visuelle du richmédia ! Que de nouveautés qui ne laissent indifférents ni les annonceurs ni les cibles.
Pour les nouveaux formats, direction l'IAB, l'Interactive Advertising Bureau. C'est lui qui donne les recommandations de taille et de format pour les bandeaux publicitaires. Cette année, il a " accepté " de nombreuses nouveautés. Certains remplacent les formats de 1998, d'autres sont totalement nouveaux.
On y retrouve, le skyscrapper, le demi-skyscrapper, le 16/9e. La bannière 468x60 reste le standard absolu mais le poids recommandé passe à 15Ko puisque la bande passante des internautes est de plus en plus puissante.
Ces normes paraissent strictes mais si vous ne pouvez pas intégrer ces formats exacts, des tailles de substitution existent : on les appelle les formats homothétiques.
Plein les yeux et les oreilles
Le richmédia a aussi fait beaucoup pour la publicité en ligne. Cette technologie associe différentes technologies de créations visuelles et sonores (flash, streaming...) en restant dans un poids de téléchargement acceptable.
Elle a un impact fort sur l'internaute puisqu'elle permet des créations animées beaucoup plus abouties et esthétiques que les gif . On peut aussi y associer du son ( vous avez sûrement entendu une sonnerie de téléphone à l'ouverture d'une page : elle était liée à une publicité pour un opérateur).
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